Quinta, suite
Les humains ? On s'en fout. Ce qui est important, c'est qu'ils puissent aller au cinéma grâce à leurs indemnités.Poupi79 a écrit :Parler des films c'est bien ...
Parler des humains c'est mieux, je trouve.
Combien sur le carreau ?!
Merci de penser a eux ...
D'ailleurs ça tombe très bien, ils vont avoir du temps devant eux les petits veinards...
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C'est bien ce qui me choque aussi : la presse et l'opinion publique réagissent quand on parle des films bloqués, mais pas quand on parle des gens qui perdent leur emploi.
Soyons francs, que Asterix soit légèrement retardé, ou perde quelques millions, j'en ai rien à secouer...
Mais les salariés traités comme des produits jetables par les financiers, ça ça me débecte...
Soyons francs, que Asterix soit légèrement retardé, ou perde quelques millions, j'en ai rien à secouer...
Mais les salariés traités comme des produits jetables par les financiers, ça ça me débecte...
"On a autant d'oreilles que d'yeux... !"
Bonjour,
Voilà le Figaro publie l'information dans une brève. On ne parle que des problèmes economiques et de distribution, pas de la catastrophe sociale :
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/ ... enaces.php
Quelques commentaires des lecteurs :
"Sociétés en liquidation ? Les producteurs et acteurs qui gagnent à mort de pognons pourraient peut être les payer un peu plus, non ?", "Sélection naturelle".
Bien cordialement.
Voilà le Figaro publie l'information dans une brève. On ne parle que des problèmes economiques et de distribution, pas de la catastrophe sociale :
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/ ... enaces.php
Quelques commentaires des lecteurs :
"Sociétés en liquidation ? Les producteurs et acteurs qui gagnent à mort de pognons pourraient peut être les payer un peu plus, non ?", "Sélection naturelle".
Bien cordialement.
Oui, mais si vous voulez que les journalistes en parlent et que les gens écoutent, il faut bien attaquer le sujet par le problème des films. Il n’y a pas de story telling possible sur les conséquences sociales tant ce genre de nouvelles est quotidien.
Et je suis moins inquiet pour ce petit monde du cinema et du téléfilm, pour qui la demande est quasi constante et le travail peu délocalisable, que pour les OS qui fabriquent des pneus ou les métallos qui restent sur le carreau à 50 ans.
Et je suis moins inquiet pour ce petit monde du cinema et du téléfilm, pour qui la demande est quasi constante et le travail peu délocalisable, que pour les OS qui fabriquent des pneus ou les métallos qui restent sur le carreau à 50 ans.
A une politique tarifaire inconsciente aussi ... Des on dit que je n'ai pas vérfifé disent aussi qu'un bonne partie des fonds de Quinta avaient pour source la Tunisie et la Lybie ....
Benjamin Rosier - La Puce a l'Oreille
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Re: Quinta, suite
Bonjour on parle d'un repreneur pour les audis est ce que quelqu'un a des infos?