Alain Madelin, sors de ce corps!...n1djar a écrit :pour avancer, faut se sortir la tête du cul et arrêter de se plaindre. S'en sortir c'est faisable mais il faut avoir la gouache et ne jamais rien lâcher!!!c'est ca la sélection naturelle. Celui qui lâche n'a pas le profil d'un mec de l'audiovisuel. pas le choix, faut aller au front.
Les Rencontres de la Création Sonore 2010
Mercredi 26 mai - Salle de conférence 1
14h00 – 16h00 La restauration sonore des œuvres cinématographiques, modérateur : Jean-José Wanègue
Intervenants : Jean-Louis Ducarme (ingénieur du son musique classique), Lionel Risler
(ingénieur du son, directeur de Sofreson), Olivier Attia (Directeur Général d'Audionamix),
Léon Rousseau (ingénieur du son en chef chez LE Diapason), (Hervé Bernard : Créateur d'Images et Consultants),
Denis Mercier : directeur du collectif d'auteurs du Livre des Techniques du Son) (*)
(*)La restauration cinématographique peut répondre à deux préoccupations qui ne sont pas nécessairement compatibles. La première est cet impérieux devoir de préserver un patrimoine tout en garantissant son exploitation possible à des fins culturelles.
La deuxième est la volonté des ayants droits de pouvoir exploiter à nouveau ce patrimoine dans un but commercial, quitte à recourir à des techniques qui vont bien au-delà de ce que devrait être une restauration raisonnée, sous prétexte que les goûts du public ont évolué. La frontière entre restauration de l'œuvre dans le plus grand respect de l'idée créatrice de l'auteur et l'ajout indu d'outrages esthétiques peut être ténu et fait que ce sujet passionnant devient très vite passionnel. Ce qui vaut pour l'image, vaut pour le son bien évidemment.
L'objet de la table ronde sur la restauration sonore cinématographique n'est pas de vouloir poser un jugement définitif sur ce qui peut se faire en la matière. De plus afin de juger, ou de se faire plus sagement une opinion, il importe avant tout d'écouter ce que des professionnels font en la matière. Quelles sont leurs approches ? Quelles sont les limites qu'ils se donnent ? Quelles sont les contraintes ou directives qui guident leur travail de restauration sonore selon qu'ils travaillent pour le compte d'un ayant droit dépositaire d'une pensée esthétique, du réalisateur lui-même ? Comment la réappropriation d'éléments anciens en vue d'une intégration dans une production moderne peut amener à des choix osés sur un plan esthétique et technique ? Autant de situations, de contextes et d'objectifs qui peuvent amener à des approches et des méthodes très différentes.
14h00 – 16h00 La restauration sonore des œuvres cinématographiques, modérateur : Jean-José Wanègue
Intervenants : Jean-Louis Ducarme (ingénieur du son musique classique), Lionel Risler
(ingénieur du son, directeur de Sofreson), Olivier Attia (Directeur Général d'Audionamix),
Léon Rousseau (ingénieur du son en chef chez LE Diapason), (Hervé Bernard : Créateur d'Images et Consultants),
Denis Mercier : directeur du collectif d'auteurs du Livre des Techniques du Son) (*)
(*)La restauration cinématographique peut répondre à deux préoccupations qui ne sont pas nécessairement compatibles. La première est cet impérieux devoir de préserver un patrimoine tout en garantissant son exploitation possible à des fins culturelles.
La deuxième est la volonté des ayants droits de pouvoir exploiter à nouveau ce patrimoine dans un but commercial, quitte à recourir à des techniques qui vont bien au-delà de ce que devrait être une restauration raisonnée, sous prétexte que les goûts du public ont évolué. La frontière entre restauration de l'œuvre dans le plus grand respect de l'idée créatrice de l'auteur et l'ajout indu d'outrages esthétiques peut être ténu et fait que ce sujet passionnant devient très vite passionnel. Ce qui vaut pour l'image, vaut pour le son bien évidemment.
L'objet de la table ronde sur la restauration sonore cinématographique n'est pas de vouloir poser un jugement définitif sur ce qui peut se faire en la matière. De plus afin de juger, ou de se faire plus sagement une opinion, il importe avant tout d'écouter ce que des professionnels font en la matière. Quelles sont leurs approches ? Quelles sont les limites qu'ils se donnent ? Quelles sont les contraintes ou directives qui guident leur travail de restauration sonore selon qu'ils travaillent pour le compte d'un ayant droit dépositaire d'une pensée esthétique, du réalisateur lui-même ? Comment la réappropriation d'éléments anciens en vue d'une intégration dans une production moderne peut amener à des choix osés sur un plan esthétique et technique ? Autant de situations, de contextes et d'objectifs qui peuvent amener à des approches et des méthodes très différentes.
Il y a un truc que je ne comprends pas...
On ne peut pas s'inscrire en "candidat libre"?...
Il faut nécessairement être invité par "un des partenaires"??
C'est un peu toujours la même (Satis and co), on a tendance à oublier que bcp (la majorité?) des "acteurs" de l'audiovisuel et de la musique sont des Free Lance qui ne sont rattachés ni à un fabriquant, ni à une structure en particulier.
Un peu dommage.
On ne peut pas s'inscrire en "candidat libre"?...
Il faut nécessairement être invité par "un des partenaires"??
C'est un peu toujours la même (Satis and co), on a tendance à oublier que bcp (la majorité?) des "acteurs" de l'audiovisuel et de la musique sont des Free Lance qui ne sont rattachés ni à un fabriquant, ni à une structure en particulier.
Un peu dommage.
+1Dupont a écrit :Il y a un truc que je ne comprends pas...
On ne peut pas s'inscrire en "candidat libre"?...
Il faut nécessairement être invité par "un des partenaires"??
C'est un peu toujours la même (Satis and co), on a tendance à oublier que bcp (la majorité?) des "acteurs" de l'audiovisuel et de la musique sont des Free Lance qui ne sont rattachés ni à un fabriquant, ni à une structure en particulier.
Un peu dommage.
A+
C.
PS: tu vois Dupont ma citation avec mes histoires de pansement et de bandage, elle est pas conne hein...
Certes. Mais quel partenaire? Et pourquoi devoir demander à un fabriquant lambda l'autorisation de pouvoir venir?
Ne serait il pas plus simple de laisser la possibilité de s'inscrire sans "partenaire"?...
En dehors des responsables de studios, qui sont les plus gros "prescripteurs" d'achat de matériel (ce qui intéresse tout particulièrement les "partenaires)?...
TicTacTicTacTicTac...Buuuuuuuuuzz!
Les Free Lance.
Ne serait il pas plus simple de laisser la possibilité de s'inscrire sans "partenaire"?...
En dehors des responsables de studios, qui sont les plus gros "prescripteurs" d'achat de matériel (ce qui intéresse tout particulièrement les "partenaires)?...
TicTacTicTacTicTac...Buuuuuuuuuzz!
Les Free Lance.