Comme tu l'imagines sans doute, le souci est bien là. L'école n'intervient toujours pas dans le financement (à part Supinfocom une fois et l'ESRA qui met son studio à dispo). En l'occurrence, ce sont les étudiants qui financent . Ce qui n'est évidemment pas normal, même si c'est de leur avenir qu'il s'agit - et je crois savoir que c'est une démarche qui te dérange aussi.Sinon c'est intéressant, sous quelle forme l'école dégage-t-elle ces budgets ?
Le paradoxe est dans la disparité entre ce qui est annoncé, et la facilité qu'il y a une fois le projet décroché à leur faire prendre conscience de l'intérêt de payer un enregistrement partagé. Souvent, les étudiants sont tout à fait prêts à financer un minimum si on leur explique.Pourquoi paradoxal ?
Comme tu le disais à juste raison: "à quoi bon en vouloir aux étudiants, ces jeunes padawans tourmentés ? Il nous a semblé que le bon sens de la marche était plutôt de mettre les écoles en face de leurs responsabilités." Je suis tout à fait d'accord avec toi Mon message allait dans ce sens
Est-ce qu'il n'y a pas des arguments analogues à utiliser dans le domaine du son? Proposer une comparaison entre une bande son mixée en audi et une bande son mixée en home-studio? Proposer une comparaison entre une bande son bruitée en studio et une bande son faite avec des banques de bruitages?