Neoharmonia, je ne fais que discuter donc je ne vous inquiétez pas: je ne remets pas en cause votre sérieux, j'essaie juste de savoir si cela a un intérêt. Comme effectivement les catalogues fleurissent un peu partout, il est normal que nous cherchions à savoir si 1°) c'est avantageux 2°) lequel est le plus avantageux, car on ne va pas multiplier les catalogues! A moins que vos contrats soient non exclusifs et dans ce cas je signe TOUT DE SUITE.
Si vous pouvez vous débrouiller seul, c’est tout bénef pour vous.
On ne se débrouille jamais seul. Chacun a ses locomotives, ses agents, etc... Les catalogues musicaux ne sont qu'une façon d'exploiter la musique. Une façon d'exploiter beaucoup plus... masssive et beaucoup plus commerciale.
Par contre si vous préférez composer plutôt que faire du business et passer vos journées en rendez-vous à la recherche de contrats, alors ce genre de structure peut vous aider.
Moi j'adore le côté business aussi
C'est mon côté entrepreneur.
Ce qui revient souvent dans les forums de compositeurs et c’est fort dommage, c’est une énorme méfiance sur tout, voire de la paranoïa, on voit l’arnaque partout.
En ce qui concerne Audioprojet, un peu. Pas de l'anarque mais un manque de crédibilité, c'est sûr.
En ce qui vous concerne je ne crois absolument pas que vous soyiez des arnaqueurs, ni même que nous puissions douter de votre sérieux (tiens cela n'a rien à voir mais '"a multitude" ça ne se dit pas en anglais). Mais je demande à lire les contrats, qui à mon sens disent beaucoup.
En fait à chacun de voir où est son intérêt, perso je préfère gagner 50 % sur une musique vendue 100 € que 100 % d’une musique restée sur mon disque dur.
Bien entendu. Mais si tant est que 1°) nous voulions exploiter ce qui est sur le disque dur au lieu de le réserver à des projets futurs. 2°) nous n'ayions pas d'éditeur qui puisse assumer cette fonction.
Un magasin de chaussures de quartier ne paierait jamais le « plein tarif » pour une musique d’attente téléphonique, et en retour France Télécom ne prendrait jamais une musique que l’on retrouve partout. Y’a de la place pour tout le monde et chacun a sa clientèle.
Entre les extrêmes c'est vrai. Mais ce n'est pas cela qui nous fait douter, c'est l'interdépendance de ces deux marchés sur une zone commune. Autrement dit, sur un docu TV par exemple, la concurrence existe fortemetn
Finalement, une chose très importante que beaucoup de compositeurs mettent de côté… la musique est un monde de contacts, ce n’est pas toujours les meilleurs qui passent.
Nous le savons. Mais nous le déplorons aussi. Et en disant ça je sais que je me tire une balle dans le pied
CEla dit Néoharmonia, tu n'as pas répondu à mes questions. Quelles garanties? Quel CA? Quel est le contenu du contrat?
Et j'ajouterai: qu'en-t-il du droit moral?
Et mes musiques hi hi hi exploitées ont dispo en écoute sur
www.myspace.com/damiendeshayes, les non-exploités en partie sur
http://cartedevisite.damiendeshayes.fr
N'assument plus les coûts de production surtout.
Et c'est justement ce qui m'embête le plus. Et c'est ce qui fait qu'une boîte comme Kosinus me semble une excellente boîte (tu en as de la chance, Laurent... ils ne cherchent pas des compositeurs comme moi par hasard, plus orientés musique concrète mélangée à l'acoustique LOOOL)
Si neoharmonia prend 50 % sans assumer les coûts de prod alors là je ne signe pas car je suis producteur de ma musique, compositeur de ma musique, interprète de ma musique: cela ne me paraît pas juste. Je préfère chercher ailleurs dans ce cas.
> ceci dit, la musique de catalogue remplie une certaine fonction pour les musiques de source ou de situation dans un score composé de musique originale.
Oui mais bon... Les frontières peuvent toujours être repoussées.
Dernière question: comment on vous contacte, Néoharmonia?