Publié : 19 oct. 2005, 10:44
pour ce qui est du niveau uniquement, j'avais procédé ainsi alors que je n'avais pratiquement pas de matériel :
-compression modérée pour épaissir un peu (0,5 à 1 dB de gagnés pas plus, mais ça n'était pas le but)
-réduction des crêtes les plus élevées (5 ou 6 par morceaux maximum) en éditant la forme d'onde (sur une sélection très brève choisie de manière à répartir le recalcul de façon la moins brutale possible). et hop 2 dB de gagnés. si on essaye de limiter plus par cette méthode, il faut éditer beaucoup trop de portions de la forme d'onde pour que ce soit acceptable.
-puis suivi de niveau extrêmement soigné sur toute la durée du morceau, fait en fonction des critères artistiques et de façon à éviter des actions audibles. ça permet en fait d'agir comme un compresseur dont tous les paramètres seraient réajustés en permanence en fonction d'une évaluation subjective du signal.
ça a été long à faire, mais ça a permis d'obtenir un pas trop mauvais rendu (pour le contexte) sans artefacts, sans altérer trop audiblement la dynamique à l'intérieur de chaque partie et sans remonter ceux des bas niveaux pour lesquels ça n'était pas souhaitable artistiquement (gros inconvénient des limiteurs).
le résultat était meilleur que ce que j'aurais pu faire avec le matos que j'avais à l'époque. le niveau moyen était sensiblement augmenté, mais pas d'une façon extraordinaire.
-compression modérée pour épaissir un peu (0,5 à 1 dB de gagnés pas plus, mais ça n'était pas le but)
-réduction des crêtes les plus élevées (5 ou 6 par morceaux maximum) en éditant la forme d'onde (sur une sélection très brève choisie de manière à répartir le recalcul de façon la moins brutale possible). et hop 2 dB de gagnés. si on essaye de limiter plus par cette méthode, il faut éditer beaucoup trop de portions de la forme d'onde pour que ce soit acceptable.
-puis suivi de niveau extrêmement soigné sur toute la durée du morceau, fait en fonction des critères artistiques et de façon à éviter des actions audibles. ça permet en fait d'agir comme un compresseur dont tous les paramètres seraient réajustés en permanence en fonction d'une évaluation subjective du signal.
ça a été long à faire, mais ça a permis d'obtenir un pas trop mauvais rendu (pour le contexte) sans artefacts, sans altérer trop audiblement la dynamique à l'intérieur de chaque partie et sans remonter ceux des bas niveaux pour lesquels ça n'était pas souhaitable artistiquement (gros inconvénient des limiteurs).
le résultat était meilleur que ce que j'aurais pu faire avec le matos que j'avais à l'époque. le niveau moyen était sensiblement augmenté, mais pas d'une façon extraordinaire.