Sound Designers

TheSoulsRemain a écrit :Pour apporter une précision : presque tout le monde est capable d'entendre la différence entre du 44,1 et du 48. J'en ai fais plusieurs fois l'expérience avec des néophytes sur mes propres prises et sur 1031

C'est marrant ça... Pourtant le filtre anti-aliasing agit à la même fréquence de coupure, en général. Peut-être que le surréchantillonnage avec filtrage par décimation induit une différence notable entre les deux ?

DM1000 : je parlais du cas de la réverbe de guibson avec une conversion 16->24 préliminaire qui changerait la qualité de sortie, et tout ce que je voulais dire c'est que je pense que c'est parceque en sortie il a eu un fichier 16 bit dans le premier cas et un 24 bit dans le second cas (au lieu de comparer deux fichiers 24 bits).

Après le calcul de la réverbération son logiciel a du repasser le résultat en 16 bits sans rien dire juste parceque c'était le format du fichier d'entrée.

D'autres logiciels conservent le résultat dans le format de travail jusqu'à ce qu'on leur ordonne de sauver, et on peut choisir le format qu'on veut pour la sortie (ex : importer un fichier 16 bit, traiter, et sortir du 24). Pour ces applications une conversion préliminaire 16->24 est inutile, mais apparemment tous les logiciels ne permettent pas ça.
(ou le permettent mais font "entrée 16 bits > traitement (format de travail) > 16 bits" et font ensuite un "faux 24").

Pour ce que j'expliquait à propos des buffers, c'était simplement ce qui se passe dans la mémoire vive d'un fichier d'origine à un fichier traité, ce qui inclue les fichiers de rendu, de freeze et les bounces.

La conclusion de ça c'est que... euh... on ne sait pas tout ce qui se passe dans notre DAW !!!

DP travaille au format que je lui donne et converti automatiquement la résolution et la quantification. En aucun cas il varie ces parametres au cour d'une cession (parametres qui demandent aussi une adaptation du hardware) De plus le MAS (Motu Audio System) est un des meilleurs moteur audio du marché.

bon alors c'est pas ça qui nous échappe...

je me répète mais bon pas tous le monde peux entendre la différence entre 44.1 et 48 he oui cela depend vraiment du type de musique.

en second le plus important c'est de respecter et de choisir la résolution et la fréquence d'échatillonage avant de commencer une prod. Ensuite d'éviter les multiples conversions qui font "mal" à l'audio et enfin de laisser le studio de mastering se charger de la réduction en 16 bits / 44.1 et d'éviter (je me répète) de travailler en 8 bits / 22 pour finir en CD c'est un peu con mais bon même les petites interfaces FW pas très chères proposes du 24 / 192 mais attention les convertisseurs sont standards(mais ils font quand même leur job...)

a+

Même avec une carte audio 16/44, il me semble que ce qui est vraiment important, c'est de travailler en 32 bits flottants en interne. Ce qui permet les nombres compris entre 0 et 1, impossibles en entiers. On peut monter les faders de la table bien au-delà du 0 dB sans saturer et finalement se passer de compression tout en obtenant niveau ET dynamique.
Pas oublier alors d'insérer un dithering en sortie (ça m'est arrivé d'oublier, mais ce n'est pas en écoutant le résultat que je m'en suis aperçu. Je pense que c'est certainement indispensable pour des productions au départ de très haut vol).