Publié : 20 sept. 2009, 09:56
Bonjour à tous,
je pense qu'il est nécessaire de regarder les réalités économiques d'un studio d'enregistrement, exerçant dans Paris intra-muros, dans lequel nos revenus financiers diminuent désagréablement chaque années au moins d'un bon quart.
J'exerce ici dans ce lieu depuis plus de 15 ans, et malheureusement la situation va en se dégradant.
Alors des réparations de U87 à plus de 1000 eruos, c'est complètement irréaliste. A ce tarif, vu le parc qu'on exploite, on peut fermer boutique tout de suite et partir élever les oies à la campagne.
Alors biensur nos grandes structures du cinéma bien subventionnés à hautes doses au fur et à mesure des films peuvent sans doute financer de telles réparations sans alourdir leue budget de maintenance.
C'est loin d'être le cas pour nous, artisan, et il faut se débrouiller comme on peut lorsqu'un de nos meilleurs éléments est en panne : on va voir les collègues, on récupère des pièces, on regarde sur le marché d'occasion internationnal, on jette un oeil sur les équivalents, et surtout ON ATTEND.
La règle est donc d'attendre et un jour on trouve une solution correcte. J'ai des micros qui ont attendus 5-6 ans avant d'être réparés, car je ne peux plus me payer le luxe d'une réparation au tarif illusoire de l'importateur ou du constructeur.
Bien amicalement.
je pense qu'il est nécessaire de regarder les réalités économiques d'un studio d'enregistrement, exerçant dans Paris intra-muros, dans lequel nos revenus financiers diminuent désagréablement chaque années au moins d'un bon quart.
J'exerce ici dans ce lieu depuis plus de 15 ans, et malheureusement la situation va en se dégradant.
Alors des réparations de U87 à plus de 1000 eruos, c'est complètement irréaliste. A ce tarif, vu le parc qu'on exploite, on peut fermer boutique tout de suite et partir élever les oies à la campagne.
Alors biensur nos grandes structures du cinéma bien subventionnés à hautes doses au fur et à mesure des films peuvent sans doute financer de telles réparations sans alourdir leue budget de maintenance.
C'est loin d'être le cas pour nous, artisan, et il faut se débrouiller comme on peut lorsqu'un de nos meilleurs éléments est en panne : on va voir les collègues, on récupère des pièces, on regarde sur le marché d'occasion internationnal, on jette un oeil sur les équivalents, et surtout ON ATTEND.
La règle est donc d'attendre et un jour on trouve une solution correcte. J'ai des micros qui ont attendus 5-6 ans avant d'être réparés, car je ne peux plus me payer le luxe d'une réparation au tarif illusoire de l'importateur ou du constructeur.
Bien amicalement.