Sound Designers

Je n’ai pas dit qu’il avait fait de la merde, quoique certains choix de mix ne me plaisaient pas trop, mais c’est le jeu...
C’est le niveau global qui m’inquiète plus dans la mesure où il pourrait porter préjudice à une écoute « sensible » du public.

J'ai édité mon message en re-mesurant mes propos.
N’empêche que, je trouve ce sujet assez... instructif :p

Balancez un peu. Pas des noms mais des titres de films, qu'on puisse aller juger sur place si on peut... Ca peut peut-être faire avancer le débat.

Si tu as le titre du film, tu as de facto le nom du mixeur… Ca me parait difficile de balancer comme ça.

Haaaa le son fort au cinéma...

Les prodes voudrais que les films passe a "7" dans les salles, car c'est le niveau de mixage.

Sauf que c'est le niveau d'alignement. Si le mixeur est sourd ou qu'il met des bouchon d'oreille pour mixé, ou que son audit est calibré a 83dB(C) au lieu de 85dB(C), faut pas qu'ils s’étonne qu'en salle les films soit projeté entre 4.5 et 5.5 en moyenne.

L’opérateur projectionniste est le seul responsable du niveau sonore dans la salle. Il doit faire une écoute pour ajusté le niveau. Apres faut encore que l'on en lui laisse le temps ou même qu'il y est un opérateur projectionniste...

see a écrit : ↑05 févr. 2020, 14:54 Il doit faire une écoute pour ajusté le niveau.

Ce que son employeur laisse toujours faire avec joie, en lui laissant accès aux salles pour cela, et en lui payant les heures passées à regarder les films en intégralité pour ajuster le niveau des films.

Papalou a écrit : ↑05 févr. 2020, 15:11

see a écrit : ↑05 févr. 2020, 14:54 Il doit faire une écoute pour ajusté le niveau.

Ce que son employeur laisse toujours faire avec joie, en lui laissant accès aux salles pour cela, et en lui payant les heures passées à regarder les films en intégralité pour ajuster le niveau des films.

A l’époque du 35mm les visions était faite en général en intégralité. Il fallait contrôle en plus du son le bon montage du film et la qualité de la copie.

Avec le numérique et donc les DCP la vision est fait de façon partielle.

Après le problème c'est que l’écoute est assez personnel. Pour le même film, la même salle deux personnes peuvent réglé le niveau de façon assez différente.

C'est pour ça que je reste persuadé, depuis plusieurs années maintenant, et malgré quelques railleries à l'époque (mais bcp moins ces derniers temps), qu'une mesure loudness du film pourrait être rendue obligatoire, non pas nécessairement pour appliquer une norme stricte, ce qui n'aurait guère de sens en cinéma mais, éventuellement, pour alerter les projectionnistes d'un problème potentiel.
Dans le cas dont je parlais plus haut, un loudness mesuré à -19LUFS pourrait sérieusement alerter le projectionniste...

On va y venir. Et tout le monde regrettera d'avoir fait le con avec les niveaux toutes ces années. Le problème est que le loudness arrivera de manière législative plutôt que collégiale à nos métiers.

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On est bien d’accord...