tout et n'importe quoi est suceptible d'amener de l'émotion "constatable scientifiquement" (excuse moi, mais ça meplie de rire) , et tu mélanges allègrement avec les histoires d'intentionalité, alors que ça n'a rien à voir !!!
Dans ce cas que proposes tu? Parce que moi je veux bien mais il faut que me trouves un moyen de définir la notion d'originalité, qui est une exigence légale... Or cela fait un siècle qu'on bute sur cela.
Et j'ai bien dit que l'émotion était UN INDICE pas une définition.
quand aux idées de livre s, il me semble que la loi reconnait le staut d'oeuvre à tt travail commencé m^ non fini, non publié et non déclaré à un quelconque syndicat ou bande de racketteurs qqconques...
Non... "Les idées sont de libre parcours" par insuffisance de forme, d'où mon problème, car le son est proche d'une idée, comme un mot reste une idée... Lis mon mémoire tu comprendras
Et cela n'a rienà voir avec la protection d'une oeuvre inachevée, parce que celle-ci POSSEDE une forme élaborée...
Le problème est qu'on aura du mal à parler de cela parce que tu connais mal les conditions de protection d'une oeuvre (cf mon article sur Zikinf), ce qui conduit à certaines confusions (que j'essaie justement de lever dans ma démonstration). Un système juridique ne se réduit pas une disposition mais est une interpénétration complexe de règles... Il ne suffit pas qu'une oeuvre soit dans le champs de protection d'une oeuvre pour que la protection soit effective: il y a d'autres conditions...
car le son est capté , à un endroit donné, il y a donc subjectivité. ça suffit à en faire qq chose d e particulier qui peut ^tre protégé.
Tu n'as pas lu mon mémoire
Le droit considère de manière expresse que l'enregistrement d'un son n'est pas une oeuvre. C'est une chose actuellement acquise: cela peut changer mais aujourd'hui le droit positif en est là.
désolé les endroits où tu poses te s limites n'ont pas le sens universel que tu sembles leur attribuer.
Je recherche et propose: je ne donne pas toujours des solutions définitives. Mes propositions sont le fruit de recherches qui proviennent non pas seulement de juristes mais également d’artistes et de philosophes, Mais lorsque j'affirme, c'est que juridiquement, la choses est acquise. Cela me rappelle une conversation avec ADSR assez tendue sur la copie privée, Lui ne comprenait pas pourquoi l’on pouvait copier un CD sans posséder l’original, parce que manifestement c’est contraire à l’éthique (ce que je concède) mais la loi le permet : elle est très claire, et même le patron du label où je bosse l’admet.
Je sais que ça vous dérange en tant qu’ingénieur son que le son ne soit pas protégé. Mon mémoire a été écrit pour trouver une solution à un problème soulevé par votre profession : comment rémunérer l’investissement et la création ?
Et bien la solution est simple : par la concurrence déloyale ou le parasitisme mais pas par le droit d’auteur, et malheureusement c’est une chose acquise.