Particularité des mixes de la période New-wave 80's
Particularité des mixes de la période New-wave 80's
Bonjour,
Juste par curiosité (Je rappelle que je ne suis qu'un musicien en quête de savoir en matière de production sonore), pouvez vous me dire si en tant que professionnels du son, vous
remarquez des particuliraté propres au mixes des morceaux new-wave de la période 80's et qui les distingue des morceaux actuels ?
Je pense à des productions de groupes comme Visage, Alphaville, Aha, luna parker, etc...
Juste par curiosité (Je rappelle que je ne suis qu'un musicien en quête de savoir en matière de production sonore), pouvez vous me dire si en tant que professionnels du son, vous
remarquez des particuliraté propres au mixes des morceaux new-wave de la période 80's et qui les distingue des morceaux actuels ?
Je pense à des productions de groupes comme Visage, Alphaville, Aha, luna parker, etc...
La première réponse qui me vient à l'esprit est que les gouts ont changé. L'apparition de nouveaux outils et de nouveaux supports comme le CD.
Une autre réponse peut être les écoutes utilisées. Il me semble que pendant les années 80 les NS-10 Yamaha avaient bien la cote. Je crois qu'elles se caractérisent par une quasi absence de basse.
Une autre réponse peut être les écoutes utilisées. Il me semble que pendant les années 80 les NS-10 Yamaha avaient bien la cote. Je crois qu'elles se caractérisent par une quasi absence de basse.
- Alexis
- L'équipe SDO
- Messages : 3118
- Inscription : 08 janv. 2006, 02:49
- Localisation : Corcoué sur logne
Peut-être l'utilisation à outrance des générateurs d'harmonique, et autres "harmonizer", dont le but était d'étendre le spectre vers le haut, en créant des harmoniques aigus sur des sons n'en possedant pas ou peu.
L'utilisation des bandes, et de la douce saturation (ou compression chaude ...) qui en découle lors de son usage à fort niveau. C'est le début de l'exagération de la compression également, sur les productions pop.
Le plus gros du son viens quand même des sources, des micros, et des "vrais" synthés analogiques.
Côté traitement, j'y étais pas, faudrait demander à des anciens !!! mais c'est clair que le monitoring de l'époque n'était pas celui d'aujourd'hui, les enceintes étaient toutes vraiment colorés et l'ingé studio avait interet à bien les connaitre. Côté basse, il me semble qu'on se préoccupais peut de ce qui se passe en dessous de 40Hz, et pour cause, rare étaient les enceintes capables de reproduire de tels fréquences, et la gravure vinyle rendait impossible son abus !
L'utilisation des bandes, et de la douce saturation (ou compression chaude ...) qui en découle lors de son usage à fort niveau. C'est le début de l'exagération de la compression également, sur les productions pop.
Le plus gros du son viens quand même des sources, des micros, et des "vrais" synthés analogiques.
Côté traitement, j'y étais pas, faudrait demander à des anciens !!! mais c'est clair que le monitoring de l'époque n'était pas celui d'aujourd'hui, les enceintes étaient toutes vraiment colorés et l'ingé studio avait interet à bien les connaitre. Côté basse, il me semble qu'on se préoccupais peut de ce qui se passe en dessous de 40Hz, et pour cause, rare étaient les enceintes capables de reproduire de tels fréquences, et la gravure vinyle rendait impossible son abus !
__________TO9, GBF, Platine Teppaz, HR624, HD25, Live 8, SoundForge9, micros, oreilles, bouche, bouchons d'oreille, femme, fille, extincteur...
Tiens, c'est marrant, vous arrivez à lire aussi petit que ça ? Ouai... tricheur, c'est le zoom, la loupe, le copier-coller, ou le grand écran je sais pas...
Tiens, c'est marrant, vous arrivez à lire aussi petit que ça ? Ouai... tricheur, c'est le zoom, la loupe, le copier-coller, ou le grand écran je sais pas...
- Dorian
- Fondateur
- Messages : 14363
- Inscription : 17 juin 2003, 18:21
- Localisation : Clamart
- Contact :
Elles ont encore la côté, puisqu'aucune enceinte n'a réussi à les égaler, dans leur genre. Pour les basses, vu qu'il n'y a pas de bass reflex c'est sur c'est moins flatteur dans le bas, mais ça peut aussi être un atout. Sinon les NS-10 se détachaient du lot surtout par son niveau de distortion parmi les plus bas, sa "step response" était la plus rapide, et sa "waterfall" était une des plus propres (désolé je ne connais pas les termes en frenchy...). Et sa réponse en fréquence, même imparfaite, s'adapte très bien au mixs musique, même "critiques" (ie. qui font apparaitre des choses bizarres sur d'autres enceintes de monitoring).gourou5573 a écrit :Il me semble que pendant les années 80 les NS-10 Yamaha avaient bien la cote. Je crois qu'elles se caractérisent par une quasi absence de basse.
Je n'ai écouté que de le funk dans les années 80, et je sais juste que bcp de prods ont été faites sur des SSL 4000 (donc un son très... SSL 4000 ), et que l'usage abusif de synthés très typés FM ont aussi marqué de leurs empreintes les mixs de l'époque.
Bye.
- Alexis
- L'équipe SDO
- Messages : 3118
- Inscription : 08 janv. 2006, 02:49
- Localisation : Corcoué sur logne
avec les 1eres reverb / multieffet numérique, comme la REV5 de Yamaha... ça change des reverb à ressort des 70' !!
__________TO9, GBF, Platine Teppaz, HR624, HD25, Live 8, SoundForge9, micros, oreilles, bouche, bouchons d'oreille, femme, fille, extincteur...
Tiens, c'est marrant, vous arrivez à lire aussi petit que ça ? Ouai... tricheur, c'est le zoom, la loupe, le copier-coller, ou le grand écran je sais pas...
Tiens, c'est marrant, vous arrivez à lire aussi petit que ça ? Ouai... tricheur, c'est le zoom, la loupe, le copier-coller, ou le grand écran je sais pas...