Je suis un peu ce fil, et je vois ça de marqué... Excuse-moi de mon manque certain d'expérience, mais j'ai du mal à concevoir un ingé son embauché durant plus d'un an sur un taf long-métrage, à moins que tu omettes les périodes non travaillées, ou bien que tu considères que l'ingé son direct enquille sur la post-prod... Ce qui est concevable, certes, mais avec une période non travaillée entre les deux quoiqu'il en soit. C'est ça qu'on appelle l'intermittence, et non un travail 5 jours sur 7 (qui a dit 7/7 ???) à watt-mille heures par jour pour une seule et même boite pendant une année entière.Alex.K a écrit :il m'arrive souvent de travailler avec des monteurs image ou son employés en intermittent pour des durée de montage de plus de 12 mois ( sur certain long métrage c'est monnaie courante...)
Or, si je ne me trompe pas, c'est ce que propose piste rouge, pas le premier cas de figure. Sinon, en capilotractant un peu tout ça, tous les ouvriers d'usine seraient intermittents du spectacle.
Après, on connait la magouille de l'intermittence déclarée pour un poste à plein temps... C'est précisément ce que pratique les grands groupes. Et c'est précisément ça qui flingue l'intermittence, qui est à la base une indemnité offerte pour pouvoir se permettre d'encourager les nouveaux artistes sans le sou, non pas de partir à Honolulu tous les quatre matins. Ou sinon, on confond avec les congés spectacle.
) ... ce n'est pas monnaie courante en tout cas mais des exceptions ? 
