Equivalents Neumann KM-84 ???
Dans le genre et pour pas cher, le MC930 de Beyer.
Je n'ai pas eu la chance de le comparer à un KM84 car je n'ai pas accès à ce micro mythique. Mais il a pour lui une très grande sensibilité (30mv/Pa), une directivité très bien maitrisée et plein de qualités sur pas mal d'instruments acoustiques. La bosse de présence est faible (2,5db sur mes exemplaires) et repoussée après 10khz, ce qui lui donne de l'air sans aucune stridence sur les cordes.
J'utilise ma paire pour enregistrer régulièrement le violoncelle de ma fille avec beaucoup de satisfaction. C'est très musical.
Je n'ai pas eu la chance de le comparer à un KM84 car je n'ai pas accès à ce micro mythique. Mais il a pour lui une très grande sensibilité (30mv/Pa), une directivité très bien maitrisée et plein de qualités sur pas mal d'instruments acoustiques. La bosse de présence est faible (2,5db sur mes exemplaires) et repoussée après 10khz, ce qui lui donne de l'air sans aucune stridence sur les cordes.
J'utilise ma paire pour enregistrer régulièrement le violoncelle de ma fille avec beaucoup de satisfaction. C'est très musical.
__________________________
Jean-Marie Mathieu
Jean-Marie Mathieu
Bonjour à tous,
je me suis servi des Josephson C42 l'an dernier. Nous avions fait des enregistrements de percussions, notamment un gros tambour qui nous a paru plus vigoureux et dynamique avec les C42 qu'avec les Neumann KM84. Je dispose d'un couple de KM84 avec les suspensions d'origine assez ancien (version mini-tuchel) assez extraordinaire.
Sur notre piano droit, j'utilise habituellement un AKG C414EB ou ULS ou TLII (seul ou en couple), ou le Neumann U67, ou le Schoeps 221F, ou le Neumann U497, ou le C451EB-CK3 d'AKG. Le C42 se rapproche du C451EB, tout en étant plus défini dans les bas-médium et moins agressif.
Depuis j'ai rendu les C42 et actuellement je ne dispose pas d'une paire. Mais je compte bien en avoir une à demeure au studio cette année, car je ne connais pas d'équivalent chez Neumann actuellement pour ce type de son.
C'est AudioAddict qui importe la marque Josephson en France, les deux pages web sont les suivante :
http://audioaddict.fr/produit_detail.php?pid=203
http://audioaddict.fr/produit_detail.php?pid=204
Il est difficile de trouver dans le commerce des KM84 ou KM84i en bon état, surtout en couple. J'en vois passé assez souvent au studio avec des capsules qui ont vécu est qui n'ont plus la richesse harmonique d'origine, ou qui n'ont plus de basse. Le vieillissement le plus constaté est le retrait des basses, suite à des chocs ou à des souffles important sur la membrane.
Dans cette recherche du microphone vintage, j'aime beaucoup utiliser en alternative au KM84, le KM74 (cardioïde) ou le KM76 (3 directivités commutables) qui reprennent le même style de capsule cardoîde, aménagée différemment.
Il y a aussi le très curieux KML qui utilise la même capsule cardioïde (on peut faire de magnifiques prises avec le KML, sans la noix) :
http://mapage.noos.fr/labroue/Musee.html
J'ai retrouvé cette acienne page WEB qui était destinée à comparer les courbes de réponse de divers microphones en commencant par le KM84 :
http://mapage.noos.fr/labroue/Micro3.html
Bien amicalement.
Philippe
je me suis servi des Josephson C42 l'an dernier. Nous avions fait des enregistrements de percussions, notamment un gros tambour qui nous a paru plus vigoureux et dynamique avec les C42 qu'avec les Neumann KM84. Je dispose d'un couple de KM84 avec les suspensions d'origine assez ancien (version mini-tuchel) assez extraordinaire.
Sur notre piano droit, j'utilise habituellement un AKG C414EB ou ULS ou TLII (seul ou en couple), ou le Neumann U67, ou le Schoeps 221F, ou le Neumann U497, ou le C451EB-CK3 d'AKG. Le C42 se rapproche du C451EB, tout en étant plus défini dans les bas-médium et moins agressif.
Depuis j'ai rendu les C42 et actuellement je ne dispose pas d'une paire. Mais je compte bien en avoir une à demeure au studio cette année, car je ne connais pas d'équivalent chez Neumann actuellement pour ce type de son.
C'est AudioAddict qui importe la marque Josephson en France, les deux pages web sont les suivante :
http://audioaddict.fr/produit_detail.php?pid=203
http://audioaddict.fr/produit_detail.php?pid=204
Il est difficile de trouver dans le commerce des KM84 ou KM84i en bon état, surtout en couple. J'en vois passé assez souvent au studio avec des capsules qui ont vécu est qui n'ont plus la richesse harmonique d'origine, ou qui n'ont plus de basse. Le vieillissement le plus constaté est le retrait des basses, suite à des chocs ou à des souffles important sur la membrane.
Dans cette recherche du microphone vintage, j'aime beaucoup utiliser en alternative au KM84, le KM74 (cardioïde) ou le KM76 (3 directivités commutables) qui reprennent le même style de capsule cardoîde, aménagée différemment.
Il y a aussi le très curieux KML qui utilise la même capsule cardioïde (on peut faire de magnifiques prises avec le KML, sans la noix) :
http://mapage.noos.fr/labroue/Musee.html
J'ai retrouvé cette acienne page WEB qui était destinée à comparer les courbes de réponse de divers microphones en commencant par le KM84 :
http://mapage.noos.fr/labroue/Micro3.html
Bien amicalement.
Philippe
Sur Ebay en se moment
Nagra IVS houss alim chrg 2 mic Neumann KM84 bontt susp
et sur Playback
http://www.playback.fr/occasions_annonc ... eid=102245
Nagra IVS houss alim chrg 2 mic Neumann KM84 bontt susp
et sur Playback
http://www.playback.fr/occasions_annonc ... eid=102245
Si je ne me trompe, l'AK40 est cardio et on fait plutôt des couples AB avec des directivités moins marquées ?Elie a écrit :Est-il vraiment nécessaire pour faire un couple d'acheter des micros appairés ? Je pense un jour acheter une AK 40 supplémentaire pour pouvoir faire un couple AB.
Sinon, oui il est important qu'une paire soit ... appairée. Après ça, tout dépend ce qu'on entend par appairé. Il ne faut pas que les différences entre les deux micros, en particulier au niveau du timbre et de la directivité soient significatives sinon l'image stereo sera plus ou moins faussée. J'ai eu à une époque une paire mal appairée ! L'une des capsules semblait introduire des rotations de phase à certaines fréquences que n'avait pas l'autre. Le résultat en couple XY ou ORTF était très désagréable.
Dans l'absolu, les grandes marques (Neumann, Sennheiser, DPA, Schoeps et sans doute d'autres) ont des tolérances de fabrication permettant d'appairer des exemplaires achetés indépendemment. Le problème pourrait plus venir du vieillissement du premier exemplaire qui peut, suivant l'utilisation, avoir introduit une déviation par rapport aux spécifications du modèle.
__________________________
Jean-Marie Mathieu
Jean-Marie Mathieu
Jean-Marie l'a bien résumé.
L'appairage précis et stable dans le temps n'est qu'une illusion. Un couple de microphone est appairé aujourd'hui, il ne le sera plus demain. La mécanique de la capsule, les déviations des composants électroniques, voire le déplacement des éléments suite à des chocs ou un emploi trop brutal, mais aussi les variations de température et d'humidité, font que chaque exemplaire vit sa vie et présente des changements propres dans le temps (des états glissants).
Si les plus grande marque ont pu stabiliser leur modèle pour un usage régulier sans accident, ce n'est pas le cas de constructeur moins réputés dans le domaine des microphones électrostatiques, où on bout de 15 ans, les microphones sont directement reconnaissables à l'oreille par leur timbre.
Je ne me plains pas de ma paire de KM84, datant du tout début des années 70, car on identifie encore mal à l'oreille les différences entre le micro A et le B. Mais un jour viendra...
Bruël et Kjaer est remarquable sur la stabilité dans le temps :
j'ai ici des capsules avec 15 ans de différence qui ont exactement le même son. La fabrication est exemplaire, sans aucun plastique, même les isolants sont en quartz épais dans la capsules, et en céramique dans le corps (préampli ou accessoire). Les membranes sont soudés et métallique. Certains modèles ont des armatures en titane. On peut théoriquement utiliser la capsule jusqu'à la températire de 150°C. Le corps préampli contient une résistance chauffante pour que les conditions d'utilisation de la capsule soit presque identique chaque fois (surtout vis-à-vis de l'humidité interne).
De son côté, Schoeps réalise aussi des miracles. J'utilise maintenant un couple de MK5 dont les capsules ont 10 ans de différence, sans aucune différence sonore notable. Les premières capsules des années 50 ou 60 posaient quelques problèmes sur la stabilité (MK24, M934...), mais depuis la série Colette, c'est remarquable.
KM100 :
Bien qu'extrèmement beau et esthétique, j'ai pu remarquer plus de différences sur la série KM100 de Neumann. Par exemple les premiers KM150 (hypercardio) ont un son plus harmonieux et défini que les derniers KM150. Il faut bien avouer qu'il y a beaucoup de générations différentes des séries KM100. En 5 ans, Neumann change beaucoup de chose (mécanique et électronique) sans pour autant changer de référence.
Pourquoi par exemple, on avait des corps et capsules KM100 de 21mm de diamètre, il y a 10 ans, et que maintemant ils sont de 22mm de diamètres ? Et cela sans changer aucune référence !
Cela se traduit par une différence notable à l'écoute.
bien amicalement.
Philippe
L'appairage précis et stable dans le temps n'est qu'une illusion. Un couple de microphone est appairé aujourd'hui, il ne le sera plus demain. La mécanique de la capsule, les déviations des composants électroniques, voire le déplacement des éléments suite à des chocs ou un emploi trop brutal, mais aussi les variations de température et d'humidité, font que chaque exemplaire vit sa vie et présente des changements propres dans le temps (des états glissants).
Si les plus grande marque ont pu stabiliser leur modèle pour un usage régulier sans accident, ce n'est pas le cas de constructeur moins réputés dans le domaine des microphones électrostatiques, où on bout de 15 ans, les microphones sont directement reconnaissables à l'oreille par leur timbre.
Je ne me plains pas de ma paire de KM84, datant du tout début des années 70, car on identifie encore mal à l'oreille les différences entre le micro A et le B. Mais un jour viendra...
Bruël et Kjaer est remarquable sur la stabilité dans le temps :
j'ai ici des capsules avec 15 ans de différence qui ont exactement le même son. La fabrication est exemplaire, sans aucun plastique, même les isolants sont en quartz épais dans la capsules, et en céramique dans le corps (préampli ou accessoire). Les membranes sont soudés et métallique. Certains modèles ont des armatures en titane. On peut théoriquement utiliser la capsule jusqu'à la températire de 150°C. Le corps préampli contient une résistance chauffante pour que les conditions d'utilisation de la capsule soit presque identique chaque fois (surtout vis-à-vis de l'humidité interne).
De son côté, Schoeps réalise aussi des miracles. J'utilise maintenant un couple de MK5 dont les capsules ont 10 ans de différence, sans aucune différence sonore notable. Les premières capsules des années 50 ou 60 posaient quelques problèmes sur la stabilité (MK24, M934...), mais depuis la série Colette, c'est remarquable.
KM100 :
Bien qu'extrèmement beau et esthétique, j'ai pu remarquer plus de différences sur la série KM100 de Neumann. Par exemple les premiers KM150 (hypercardio) ont un son plus harmonieux et défini que les derniers KM150. Il faut bien avouer qu'il y a beaucoup de générations différentes des séries KM100. En 5 ans, Neumann change beaucoup de chose (mécanique et électronique) sans pour autant changer de référence.
Pourquoi par exemple, on avait des corps et capsules KM100 de 21mm de diamètre, il y a 10 ans, et que maintemant ils sont de 22mm de diamètres ? Et cela sans changer aucune référence !
Cela se traduit par une différence notable à l'écoute.
bien amicalement.
Philippe
sinon, j'ai vu des KM84 a vendre avec un Nagra IV S et divers accessoires sur Ebay.....
http://cgi.ebay.fr/Nagra-IVS-houss-alim ... 240%3A1318
http://cgi.ebay.fr/Nagra-IVS-houss-alim ... 240%3A1318
- Foxp2
- Donateur en Argent
- Messages : 3044
- Inscription : 22 nov. 2006, 15:46
- Localisation : Saint Denis
- Contact :
Bonjour Philippe , les meilleures choses qui soient pour l'année a venir !
je rebondis puisqu'il parait qu'il faut savoir rebondir...boing! boing! boing!
boing!
boing..boing...c'est comment qu'on freine ? boing.....
je rebondis puisqu'il parait qu'il faut savoir rebondir...boing! boing! boing!
boing!
à ma connaissance les premieres series des 184 et consorts n'etait pas modulaires et il me semble que l'embompoint de ces micros est apparu en mm temps que le filetage necessaire à l'adaptation des differentes capsules, je pense que ce fut un des moyens pour Neumann de recoler au marché apres s'etre fait gratter des parts par Schoeps ( perso je me demande bien pourquoi, mais bon..)Pourquoi par exemple, on avait des corps et capsules KM100 de 21mm de diamètre, il y a 10 ans, et que maintemant ils sont de 22mm de diamètres ? Et cela sans changer aucune référence !
boing..boing...c'est comment qu'on freine ? boing.....
Ê pericoloso sporgersi!
-
- Donateur en Bronze
- Messages : 244
- Inscription : 21 sept. 2008, 00:15
- Localisation : Meudon 92
Labroue a écrit : Bruël et Kjaer est remarquable sur la stabilité dans le temps :
Cela se traduit par une différence notable à l'écoute.
Philippe
Le vintage , pourquoi pas...
Comme tu le dis , les mics vieillissent pas tous pareil..
Je viens d'enregistrer un violoncelle hier ..
J'ai débuté par un 84 (voir post d'avant ) et un 87 au cas où..
Pas très content .. j'ai sorti un DPA 4041
Ouaouh
En séance il faut aller vite ...
J'ai été seduit ..et j'ai enregistré ainsi..
A la ré-écoute ..c'est pas mal ..un peu plus de temps pour chercher la bonne place ..!!
J''ai conservé un peu de 87 pour le bas..
Evidemment un cardio , un omni rien à voir..
Mais le DPA est tellement juste en timbre .. et même avec une acoustique moyenne .. ça sonne joli..
Musique de film .. pas CD..
Bravo et merci pour ta connaissance des mics , de leur technologie et leur approche sonore , on apprend tout les jours ..
Bonjour Yves, bonjour Lergut,
très heureux de vous lire; de très bonnes choses également à vous deux pour cette nouvelle année.
On utilise donc des préemplis Neumann KM100 qui font 21mm, d'autres 22mm; de même, des capsules aux deux différents diamètres.
Les filetages sont entièrement compatibles, seul l'aspect extérieur diffère (mais pas sans conséquence sur le son).
On peut ainsi croiser un préampli KM100 de 22mm avec une capsule de 21mm, et réciproquement.
Pour les capsules Omni AK130 (diffu) ou AK131 (champs libre), Neumann propose des sphères de diffraction, appellées aussi égalisateurs acoustiques.
Il faut savoir qu'il en existe deux modèles, en fonction du diamètre des corps.
On a donc été obligé de les avoir en double.
Pour l'enregistrement du violoncelle.
J'appécie, tout comme vous, les remarquables DPA 4041 : microphones extraordinaires qui présentnte une remontée des aigus, si bien conçue.
Il est pas rare de constater au fil des prises de son que c'est le plus musical capteur de DPA, d'une grande beauté.
Je connais bien la version de chez B&K, et non pas de DPA. On retrouve presque la même configuration : polarisation de la capsule de 200 volts (10 volts de plus que la verison DPA),
préampli alimenté en 120 Volts au gain unitaire, sensibilité de l'ordre de 50mV/Pa pour une capsule de 1 pouce. Par contre, chez B&K,
le système n'est pas limité dans le bas du spectre (droit jusqu'à 2Hz), et on est obligé de couper électroniquement à 20Hz à la console.
On peut aussi trouver chez B&K, 2 capsules 1 pouce différentes et interchangeable :
celle dont la courbe de réponse est droite pour les champs libres,
celle qui a une remontée dans l'aigu pour capter les variations de pression en milieu clos ou les champs diffus.
Un autre microphone cardioïde qui convient très bien pour le violoncelle est le Neumann TLM193.
Sa capsule est de taille intermédiaire, de plus faible diamètre qu'un classique U87, plus large qu'un KM84.
J'utilise presque tout le temps des TLM193 pour l'enregistrement des cordes en classique.
C'est un réel plaisir de partager nos expériences de prise de son.
Bien amicalement.
très heureux de vous lire; de très bonnes choses également à vous deux pour cette nouvelle année.
On utilise donc des préemplis Neumann KM100 qui font 21mm, d'autres 22mm; de même, des capsules aux deux différents diamètres.
Les filetages sont entièrement compatibles, seul l'aspect extérieur diffère (mais pas sans conséquence sur le son).
On peut ainsi croiser un préampli KM100 de 22mm avec une capsule de 21mm, et réciproquement.
Pour les capsules Omni AK130 (diffu) ou AK131 (champs libre), Neumann propose des sphères de diffraction, appellées aussi égalisateurs acoustiques.
Il faut savoir qu'il en existe deux modèles, en fonction du diamètre des corps.
On a donc été obligé de les avoir en double.
Pour l'enregistrement du violoncelle.
J'appécie, tout comme vous, les remarquables DPA 4041 : microphones extraordinaires qui présentnte une remontée des aigus, si bien conçue.
Il est pas rare de constater au fil des prises de son que c'est le plus musical capteur de DPA, d'une grande beauté.
Je connais bien la version de chez B&K, et non pas de DPA. On retrouve presque la même configuration : polarisation de la capsule de 200 volts (10 volts de plus que la verison DPA),
préampli alimenté en 120 Volts au gain unitaire, sensibilité de l'ordre de 50mV/Pa pour une capsule de 1 pouce. Par contre, chez B&K,
le système n'est pas limité dans le bas du spectre (droit jusqu'à 2Hz), et on est obligé de couper électroniquement à 20Hz à la console.
On peut aussi trouver chez B&K, 2 capsules 1 pouce différentes et interchangeable :
celle dont la courbe de réponse est droite pour les champs libres,
celle qui a une remontée dans l'aigu pour capter les variations de pression en milieu clos ou les champs diffus.
Un autre microphone cardioïde qui convient très bien pour le violoncelle est le Neumann TLM193.
Sa capsule est de taille intermédiaire, de plus faible diamètre qu'un classique U87, plus large qu'un KM84.
J'utilise presque tout le temps des TLM193 pour l'enregistrement des cordes en classique.
C'est un réel plaisir de partager nos expériences de prise de son.
Bien amicalement.