First understand the difference between VU and PEAK metering.
ASLO "0" is not the max.
-20 dBFS = 0 dB VU is your reference level. Your average program VU will be at that level.
Mix your program with average dialog around -27 to -22 dBFS or
-7 to -2 VU
Do no exceed -10 dBFS peaks.
Analog in the broadcast chain will distort at +12 VU or -8 dBFS
So the bozo at the network will allow their broadcst limiters to crush anything exceeding -10 dBFS, and the release on those limiters are around 2 seconds!!!!!
What would youre work sound like after that????????
You MUST mix with a VU meter and a peak meter, the best solution ia a Dorrough Meter.
Origine du -18dBFS?
ok un peu de off topic sur les niveaux aux states, lu sur un forum :
c'est parce que personne n'en parle.Benji a écrit :Par contre pour le Beta num en 20 bits je t'avoues que je suis surpris!!!
moi meme j'ai tendance à l'oublier.
une fois, quand meme, travaillant sur un projet en 24 bit, je me suis efforcé de ne pas l'oublier lors du bounce du mix (realisé en 20 bit).
mais une des raisons du non travail en 20 bit vient aussi de l'incapacité aux logiciels d'encapsulage (par ex omf) à gerer cette quantification (ainsi que les cameras DV).
AMHA, l'origine vient de l'industrie.De toute façon tout cela nous écarte ma question du départ : pourquoi -18dBFS et pas -12 ou -17 ou autre chose. Quelqu'un connait il l'origine de ce choix?
il a bien fallu à un moment que les constructeurs de "machines" puissent regler leur convertisseur A/N et N/A sur une valeur electrique (la fameuse relation entre le dBU, le VU et le dBFs).
mais on nage quand meme dans un certain joyeux bor*el entre AKAI (-14 dBFs) SONY (-20dBFs) et les autres (-18dBFs)
oui, oui, c'est bien ça...selon les doc techniques, les appareils annoncaient +20 à +22dBm avant écr^etage des amplis (SONY +24dBm je crois me rappeler...)AMHA, l'origine vient de l'industrie.
Donc c'est bien ça, + 22bdm , 9 dB de réserve, plus 9 de plage dynamique 22-9-9 = 4...euh +4dBm=0 VU !
Avec 0 dBFS = +22dBm, on retrouve bien -18dBm ("zéro VU")
1 milliWatt sous 600Ohms = 775 millivolts (je vous laisse le calcul...) = 0dBm
La notion de puissance était fondamentale, car on travaillait alors (années 40-50) avec des liaisons dont l'impédance de source était égale à celle de la destination; c'est ce qu'on appelle une adaptation en puissance, qui donnait la meilleur qualité avec des transfos.
Aujourd'hui la plupart des liaisons audio se font avec une adaptation en tension (impédance de source faible, impédance de destination élevée), parce qu'on sait fabriquer des amplis de ligne intégrés à très faible impédance de sortie, ce qui n'était pas le cas il y a 50 ans.
Le m minuscule après le "dB" fait référence à ce fameux milliwatt, qui était la référence du télephone, utilisée très tôt dans les liaisons audios longues distances, et que l'industrie audio-visuelle a ensuite conservé.
A+
La notion de puissance était fondamentale, car on travaillait alors (années 40-50) avec des liaisons dont l'impédance de source était égale à celle de la destination; c'est ce qu'on appelle une adaptation en puissance, qui donnait la meilleur qualité avec des transfos.
Aujourd'hui la plupart des liaisons audio se font avec une adaptation en tension (impédance de source faible, impédance de destination élevée), parce qu'on sait fabriquer des amplis de ligne intégrés à très faible impédance de sortie, ce qui n'était pas le cas il y a 50 ans.
Le m minuscule après le "dB" fait référence à ce fameux milliwatt, qui était la référence du télephone, utilisée très tôt dans les liaisons audios longues distances, et que l'industrie audio-visuelle a ensuite conservé.
A+
Juste un lien sur une page rédigée par PH. Labroue qui résume (façon de parler) toutes ces histoires de niveaux et d'alignement d'une chaine de prise de son, de diffusion et de mastering :
http://mapage.noos.fr/labroue/NiveauNominal.html
http://mapage.noos.fr/labroue/NiveauNominal.html