s01 a écrit :Merci du conseil.
Il n'y a donc rien qui puisse m'aider si ce n'est continuer à experimenter?
Si, y'a des lectures ici ou la, le book de Bob Katz est pas mal par exemple... mais c'est difficile de donner des conseils étant donné que d'une part il n'y a pas grand choses d'établi (de manière académique) en matiére de mastering et que d'autre part la pratique varie énormément suivant les matériels utilisés. On ne masterise pas pareil du classique et de l'électro, et entre ceux qui font des mastering avec des unités hardware analogiques et ceux qui utilisent des traitements numériques , y'a un sacré panel de pratiques différentes, plus ou moins explicable d'ailleurs... Et on voit bien , à travers les ages et les différentes productions musicale qu'il n'y a pas vraiment de règle en matière de mastering (ni en matière de mixage) sinon une : l'auditeur doit être soufflé.
Il faut se rappeler que le mastering est la dernière étape avant pressage et a (ou avait) pour but d'optimiser le codage en fonction du support final. Donc ca veux pas dire grand chose, en tout cas ca veut pas dire que ca va automatiquement améliorer la basse ou la batteries, que ca va remettre la voix en perspective ou que ca va éliminer les problème de stabilité rythmique... bien qu'un mastering puisse faire tout ca dans certains cas. Le mastering aujourd'hui est une étape optionnel car on peux faire des mix en numérique ou la sortie va être pratiquement ok pour un pressage.
Spécifiquement pour l'électro (j'ai fais pas mal d'essais de mastering pour ce genre de musique), je dirais qu'il faut mixer en fonction de l'aspect percussif des sons, les drums très devant, les nappes et tous les sons un peu long, derrieres. Travailler à fort volume avec de la dynamique (le Mastering réduira cette dynamique) pour bien sentir l'aspect énergétique de la musique...
bref, après, tout dépend de votre musique, du résultat que vous voulez obtenir... ca reste aussi une question de choix artistique.
VB