dessine nous ton son
Publié : 18 nov. 2009, 10:27
Bonjour à tous,
Le son ça se discute ...
J’ai lu ceci :
« LE interet du documentaire est que ce que tu y vivra , ce que tu verras et entendras seras unique et ne se produira qu'UNE fois , il n'y a pas de repetition, pas de mise en place, rien ou si peu, chaque moment est UNIQUE . »
Cela peut-être vrai, il y a aussi les docus fictions et les fictions docus …
Que l’on soit sur un plateau de fiction ou dans le réel, celui-ci nous entoure toujours, on peut espérer le maîtriser ou au contraire le laisser nous envahir …
Il n’y a pas d’école, mais comme dans le magnifique livre d’entretien « le son direct au cinéma », des passerelles …
Tout comme « le goût et les couleurs », cela se discute …
Evidemment tout dépend du caractère historique de l’œuvre, actuel ou pas.
Comme le dit Nicolas Becker dans son interview sur « Autre Radio Autre Culture », ne nous cachons pas, l’acoustique d’un lieu est complexe et parfois plus riche que sa copie.
Une petite contribution, avec un exemple :
Une scène d’un film de fiction, on est sur le plateau, la nuit, dans une petite ville sur la place principale, les régisseurs essayent de maîtriser la circulation, la scène ne « prend » pas, tout à coup l’ingé son, mon chef s’énerve et engueule les régisseurs, « c’est mort ici, vous voulez bien rouvrir vos barrages, d’ailleurs qui vous à demander de bloquer la circulation », … on a enfin la prise (pas tout de suite quand-même …) par bonheur à l’époque nous n’avions pas installé de stéréo, le résultat est vivant une mobylette aveugle pour le spectateur traverse l’écran sans localisation, les acteurs vivent la scène, la réalisation est contente !!!
Un peu de poésie quoi, et de provoque, mieux vaut un bon mono qu’un mauvais 5.1
A vous
Ben
Ps : je poste sur sounddesigners.org, perchman.com et afsi.eu
Le son ça se discute ...
J’ai lu ceci :
« LE interet du documentaire est que ce que tu y vivra , ce que tu verras et entendras seras unique et ne se produira qu'UNE fois , il n'y a pas de repetition, pas de mise en place, rien ou si peu, chaque moment est UNIQUE . »
Cela peut-être vrai, il y a aussi les docus fictions et les fictions docus …
Que l’on soit sur un plateau de fiction ou dans le réel, celui-ci nous entoure toujours, on peut espérer le maîtriser ou au contraire le laisser nous envahir …
Il n’y a pas d’école, mais comme dans le magnifique livre d’entretien « le son direct au cinéma », des passerelles …
Tout comme « le goût et les couleurs », cela se discute …
Evidemment tout dépend du caractère historique de l’œuvre, actuel ou pas.
Comme le dit Nicolas Becker dans son interview sur « Autre Radio Autre Culture », ne nous cachons pas, l’acoustique d’un lieu est complexe et parfois plus riche que sa copie.
Une petite contribution, avec un exemple :
Une scène d’un film de fiction, on est sur le plateau, la nuit, dans une petite ville sur la place principale, les régisseurs essayent de maîtriser la circulation, la scène ne « prend » pas, tout à coup l’ingé son, mon chef s’énerve et engueule les régisseurs, « c’est mort ici, vous voulez bien rouvrir vos barrages, d’ailleurs qui vous à demander de bloquer la circulation », … on a enfin la prise (pas tout de suite quand-même …) par bonheur à l’époque nous n’avions pas installé de stéréo, le résultat est vivant une mobylette aveugle pour le spectateur traverse l’écran sans localisation, les acteurs vivent la scène, la réalisation est contente !!!
Un peu de poésie quoi, et de provoque, mieux vaut un bon mono qu’un mauvais 5.1
A vous
Ben
Ps : je poste sur sounddesigners.org, perchman.com et afsi.eu