Moi aussi.je suis moi aussi pour la disparition des monopoles, ...
Je comprenais les limitations techniques du temps du son optique, voire même il y a 20 ans où l'on commençait à maîriser le numérique. Mais à notre époque, ce discour me heurte et me fait penser à celui d'un enarque qui arrive 10 ans après la bataille.
Si le cinéma (d'un point de vue sonore) doit rester un art, alors il faut qu'il soit créatif. Et pour être créatif, les créateurs n'ont pas besoin de norme et de monopole qui les 'emprêtront dans leur démarche. Ils ont besoin d'une bonne technique bien choisie pour s'y exprimer.
Aujourd'hui le cinéma, que ce soit dans sa partie son ou dans la partie image est une industrie, telle une fabrique de produit de consommation, bien cadrée, bien normalisée, avec de gros monopole sur la distribution chapeauté par une loi rès protectionniste et très corporatiste.
Pour faire vivre des gens, auteurs et techniciens, gérant de salle et distributeur, c'est super. Disons que la machine fonctionne bienl, et même l'état y trouve largement son compte.
Gardons ce système qui roule bien, et parallèlement développons quelque chose de nouveau, beaucoup plus intéressant sur le plan créatif. Même si cela met 10 à 20 ans pour voir le jour, c'est dans les petits endroits ignorés que naissent les choses de l'avenir.
Pour en revenir au mixage, il serait donc très bien que quelqu'uns d'entre nous pensent autrement, inovant, (sans pour autant remettre en cause le gagne-pain quotidien).
Bien amicalement.