Je me permet d'haïr le festival de Cannes et ses film de boules de merde qu'ils appellent Art (y a de encore de sacrés morceaux cette année).

Je me permet d'haïr le festival de Cannes et ses clients complètement istériques, juvénils et déraisonnables.
Je me permet d'haïr le festival de Cannes et son stress superfetatoire.
Je me permet d'haïr le festival de Cannes et ses mondanités gazeuses auquels les isteriques sus-décrits participent, s'autosatisfaisant en s'enquillant des rails de coke.
Bref, c'est dans ces moments là que je regrette d'avoir quitter le cartésianisme et sa rigueur scientifique.
(d'un autre coté lorsque je vois la morosité des chercheurs...)